Une femme de communion

Pensées et Maximes de Madeleine-Sophie Barat

« Ne vous inquiétez pas de vos tempêtes intérieures ; elles sont nécessaires, et la mer est plus calme et plus belle après une tempête. »

« Par souci de paix, j’essaye de me mettre à la place des autres et de ne les juger qu’en regardant à travers leurs lunettes. »

« Soyons un pont entre Dieu et les autres. »

« L’union que la charité maintient dans la Société (du Sacré-Cœur) est la source de tout le bien qui s’y fait, comme elle est l’appui où elle trouve sa force. Si elle ne l’avait pas, elle n’existerait pas longtemps. »

« Il n’est pas facile d’accommoder tout le monde ; faisons pour le mieux et demeurons dans la paix. »

Musique

Les Frangines – Ensemble

 

Hopen – Unis comme des frères

Vidéo

Oser changer les habitudes et créer du lien : Dîner ensemble

Des écrits

« Nous nous sentons appelées à répondre aux besoins les plus urgents de ce monde, comme éducatrices : femme de communion, femmes de compassion, femmes de réconciliation. […] Le respect demande l’accueil de la différence dans toute sa richesse : – laissons-nous interpeller par les valeurs des autres cultures, – acceptons de réviser nos attitudes, nos stéréotypes, nos complexes de supériorité et d’infériorité envers des personnes et des mentalités différentes.  La vérité nous demande de faire face au conflit et à la souffrance, sans les nier, d’aller à la racine des problèmes, confiantes dans la capacité des personnes à chercher des solutions justes et à pardonner. La recherche de la justice exige : – de regarder le monde avec les yeux et les sentiments de ceux qui souffrent de pauvreté et de marginalisation quelle qu’en soit la forme, – d’être conscients qu’il y a des structures qui oppriment et détruisent l’humanité, – de nous sensibiliser davantage à la souffrance de ceux qui n’ont ni voix, ni pouvoir, – d’éduquer dans le sens d’un engagement pour la justice.  La recherche de la réconciliation et de la paix nous invite à promouvoir une pédagogie de la non-violence dans la participation et la réciprocité. Concrètement cela appelle à créer des espaces où règnent des relations chaleureuses et un sens de la solidarité où toute personne puisse vivre, découvrir sa propre valeur et le sens de sa vie, s’ouvrir au don de la foi. »
(Chapitre Général 1994 – Faire croître la vie en éduquant à la réconciliation)

« Agir comme un Corps dynamique, interconnecté, articulé avec d’autres corps, dans le monde et comme Eglise, pour partager, collaborer et nous rendre solidaires entre nous et avec les autres. »
(Chapitre Général 2016 – appel n°4)