Les joies et les difficultés de Sophie

Chant

Pour continuer à découvrir l’Evangile du Fils prodigue :

Un enfant a disparu – Mannick et Jo Akepsimas

Méditation

L’arbre de la méditation

Voir le préambule sur le QR Code chapitre 1 –
Deux formules possibles : vous utilisez vous-même le texte ci-dessous ou l’enregistrement.*

Introduction

Cet exercice est une pratique courte et simple qui invite l’enfant à prendre conscience de sa propre solidité, quelles que soient les intempéries émotionnelles qui peuvent subvenir.

Méditation de l’arbre…
Bonjour les enfants, c’est parti pour la position de l’arbre.
Tu es debout, les pieds écartés de la largeur du bassin, tes bras le long du corps, la tête droite. Écarte les bras et vérifie que tu as assez d’espace autour de toi pour ne pas déranger tes voisins. Tu peux changer de place sinon. Ça y est, vous êtes prêt ?

Imagine maintenant que tu es un arbre solide et fort. Tes pieds sont la base de l’arbre, tes jambes et ton buste forment le tronc de l’arbre, bien droit et tes bras sont comme les branches de cet arbre. Reste quelques instants immobile, à sentir comment ça fait d’être cet arbre solide et fort. Comme un arbre, tu es solidement ancré dans le sol par des racines. Peut-être tu peux imaginer ces racines, les sentir ? Tout un réseau de racines qui s’enfonce dans la terre, profondes. Des racines bien solides qui vont permettre à l’arbre de rester stable. Essaye de ressentir cette stabilité en toi.

Petit à petit, le vent se lève. Tu sens le vent sur ta peau ? Ce petit vent souffle dans les branches de l’arbre et tes bras commencent à bouger doucement au gré du vent. Les pieds restent solidement ancrés dans le sol. Et tu sens cette agitation légère dans tes bras.

Puis le vent souffle de plus en plus fort, les branches s’agitent et tes bras bougent dans tous les sens, dans toutes les directions. Peut-être que ton corps aussi se met à bouger de plus en plus vite, agité par le vent qui devient une tempête. Comment te sens-tu lorsque tu bouges comme ça ? Les bras, la tête, le torse, peut-être même un peu les jambes ? Y a-t-il des moments, dans la vie, où tu as aussi l’impression que tu es chahuté, remué, agité, sans que tu le veuilles ? Sent maintenant tes pieds, tes racines qui restent bien ancrées dans le sol. Les racines peuvent continuer à se tordre, à être secouées, mais restent solidement enracinées dans le sol. Sens-tu comme tu peux être solide malgré la tempête, avoir confiance en ce que tu fais, même si tout bouge autour de toi, à l’intérieur de toi, tu peux rester solide, stable ?

Peu à peu la tempête se calme. Les mouvements ralentissent. Laisse ton corps tout doucement redevenir tranquille, les bras, la tête, le torse redeviennent immobiles. Tes pieds sont toujours bien ancrés dans le sol, comme l’arbre est enraciné dans la terre. Il n’a pas bougé. Tes bras sont à nouveau le long du corps. Tout ton corps est tranquille. Toi aussi tu peux être solide même pendant une tempête. Prends maintenant, quelques respirations avant de retourner t’asseoir…

A bientôt.

L’enregistrement de la méditation : 


 

Prière

Seigneur, Merci pour tous les bonheurs que tu nous donnes.
Merci de m’aider à passer des larmes au sourire.
Merci pour ta miséricorde.
Aide-moi à remplir mon cœur de douceur, de justice et de paix
Car je veux habiter le Royaume des Cieux avec toi. Amen

www.theobule.org

Défis

Qu’est-ce qu’un tabernacle ?

Quand on rentre dans une chapelle ou dans une église, la table de l’Eucharistie n’est pas toujours préparée. Mais on voit souvent une petite lumière rouge… Elle est souvent proche de l’autel, posée sur beau meuble dans lequel il y a un coffret.

Dans sa maison, qu’est-ce qu’on met dans un joli coffret ? ce souvent des petits objets auxquels on tient beaucoup !

Dans l’Eglise, dans ce coffret qu’on appelle tabernacle, les catholiques gardent les hosties qui n’ont pas été encore consommées : c’est une manière de dire que Jésus est toujours présent, pas seulement quand on reçoit la communion. La lumière rouge nous signale cette présence qu’on ne voit pas. Cette réserve d’hosties placées dans un ciboire (sorte de coupe) est appelée Saint-Sacrement.

Le mot tabernacle vient d’un mot latin qui signifie ‘tente’. Dans l’Ancien Testament, les tables de la Lois étaient, elles-aussi abritées dans une tente. On peut se rappeler que le corps du Christ (les hosties consacrées appelées aussi Pain de Vie) n’est pas fait pour rester toujours dans un coffret bien fermé mais pour être partagées à tous, pour continuer le chemin en étant plus fort ; comme les Tables de la loi que les hommes de l’Ancien Testament portaient toujours avec eux sur les routes.

Quand on voit la petite lumière rouge, on peut s’en approcher. Par respect pour Jésus, on fait silence, on peut se mettre à genoux en faisant une génuflexion. C’est une manière de se faire petit et de reconnaitre la grandeur de jésus. On peut aussi rester debout en se souvenant que dans l’Evangile, Jésus a toujours relevé les gens qu’il a rencontrés et qui étaient tristes ou malades…

On reste quelques instants et on peut prier… « Jésus, Tu es là… je T’aime… Je pense à tous ceux qui te connaissent et à tous ceux qui ne te connaissent pas… »

On peut fait faire un beau signe de croix, et de nouveau, on s’incline, on se relève et on repart.

Atelier pédagogique pour les plus jeunes

Source : https://www.kt42.fr/2018/10/jeux-et-activites-sur-la-parabole-du.html

Une célébration : Nos noms sont inscrits dans le cœur de Dieu

Célébration de la réconciliation : Entrée des enfants sur fond musical

Mot d’accueil

Chant : « O ma joie et mon espérance. »

Evangile de Jean chapitre 15 versets 3 à 7

Des gens peu fréquentables sont avec Jésus et l’écoutent. Voyant cela, les pharisiens et les scribes murmurent entre eux : « Cet homme, Jésus, fait bon accueil aux pécheurs. » « Il mange avec eux ! ».

Alors Jésus leur dit cette parabole :

« Si l’un de vous a cent brebis et qu’il en perd une, n’abandonne-t-il pas les quatre-vingt-dix-neuf autres dans le désert pour aller chercher celle qui est perdue, jusqu’à ce qu’il la retrouve ? Quand il l’a retrouvée, il la prend sur ses épaules, tout joyeux, et, de retour chez lui, il rassemble ses amis et ses voisins pour leur dire : “Réjouissez-vous avec moi, car j’ai retrouvé ma brebis, celle qui était perdue !”

Je vous le dis : C’est ainsi qu’il y aura de la joie dans le ciel pour un seul pécheur qui se convertit, plus que pour quatre-vingt-dix-neuf justes qui n’ont pas besoin de conversion.

Dialogue avec les enfants – quelques mots d’explication

Prière du Notre Père

Temps de silence pour se préparer à la démarche

Dialogue personnel

Chaque enfant s’il le désire fait une démarche vers le prêtre pour se confier à Dieu, peut-être lui demander pardon, pour dire ce qui est lourd dans le cœur…

Après avoir vécu ce dialogue et avoir peut-être reçu le sacrement de réconciliation, il inscrit son nom dans le cœur de dieu (affiche).

Si les enfants sont nombreux et les prêtres / adultes ‘écoutants’ sont en petit nombre, prévoir une activité (ou lecture ou…) en attendant que tous aient fait la démarche.

Chant final d’action de grâce